On a déniché pour vous cet article
sur le site d’Usbek & Rica
Ce qu’on en retient :
Il s’agit de l’interview de Régis Marodon, conseiller « finance durable » de l’Agence Française de Développement (AFD), au sujet de son dernier livre dans lequel il explique en quoi la finance peut, si elle devient plus durable, concilier le bien-être humain avec les ressources limitées de notre planète. En gros la finance n’est pas une fin en soi, mais bien un outil au service de la planète et il est urgent d’apprendre à mieux s’en servir. Ce monsieur pointe du doigt la “mauvaise finance” (celle “des voyous”) et propose une finance plus vertueuse qui intégrerait les externalités négatives (la multitude d’impacts de nos productions et consommations), l’équilibre économique sur le long terme (à horizon d’1 ou 2 générations) et les impacts environnementaux. Bref on aime la posture de Régis Marodon, et on a très très envie de lire son livre Financer notre futur commun. Promis, on vous le débriefe bientôt !
“Sans financement, les projets vertueux ne se feraient pas”
Régis Marodon
Les questionnements sous-jacents qu’on a envie de vous partager :
- ET SI la finance devenait vraiment durable ?
- ET SI une nouvelle loi mondiale obligeait toute transaction financière à intégrer une contrepartie vertueuse ?
- ET SI la finance n’avait jamais existé, quel serait le monde actuel ?